Le 1er octobre 2024, une Parisienne d’origine camerounaise, Becky, âgée de 40 ans, a été retrouvée morte dans un appartement à Aubervilliers, suscitant une onde de choc au sein de la communauté. C’est une connaissance de la victime qui a alerté la police, inquiète de ne pas avoir de nouvelles.
Découverte Macabre
La dépouille de Becky a été découverte nue, présentant des signes alarmants de violence, y compris des marques de strangulation et des coups à la tête. Selon les premiers rapports de police, ces éléments laissent présager un acte criminel brutal. L’appartement où elle a été retrouvée serait également un lieu associé à des activités de prostitution, ajoutant une dimension tragique à cette affaire.
Une Intervention Malheureuse
Plus tôt dans la journée, des voisins avaient signalé des cris provenant de l’appartement, mais la police, alertée, n’a pas trouvé de victime sur les lieux. Ce fait soulève des questions sur l’efficacité de l’intervention des forces de l’ordre, d’autant plus que c’est finalement une connaissance de la défunte qui a prévenu les secours après avoir tenté de la joindre à plusieurs reprises sans succès.
Réactions et Soutien
La maire d’Aubervilliers, Karine Franclet, a exprimé son indignation sur Twitter, déclarant : « Profondément horrifiée par le crime qui s’est produit dans notre ville. Cet événement nous touche tous et soulève de nombreuses questions. » Elle a également exprimé son soutien à la famille de la victime dans cette épreuve difficile.
Enquête en Cours
Les autorités ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances précises de ce meurtre. À ce jour, aucun témoin n’a été identifié, et les enquêteurs poursuivent leurs investigations pour établir les faits.
La mort tragique de Becky met en lumière des problématiques de sécurité et de violence, notamment envers les femmes. Sa disparition brutale laisse un vide immense dans la vie de ses proches, qui pleurent une perte soudaine et violente. En attendant les résultats de l’enquête, la communauté reste dans l’attente de justice pour la victime.